Saumon, truite de mer, anguille, esturgeon, grande alose, alose feinte, lamproie fluviatile, lamproie marine ...
Malgré leurs capacités de «super-athlètes aquatiques» leur permettant de parcourir des milliers de kilomètres entre eau douce et milieu marin, les poissons migrateurs sont en danger.
La Fédération Nationale de la Pêche en France lance aujourd’hui l’alerte, appelle à la mobilisation collective et propose un plan d’actions pour que cette situation ne devienne pas demain une fatalité.
La Fédération Nationale de la Pêche en France lance aujourd’hui l’alerte, appelle à la mobilisation collective et propose un plan d’actions pour que cette situation ne devienne pas demain une fatalité.
8 espèces sur 9
de poissons migrateurs présents
dans l’hexagone, ont un statut défavorable de conservation suivant la classification de l’Union Internationale pour la Conservation
de la Nature (UICN). L’esturgeon, l’anguille et la grande alose sont même en danger critique d’extinction.
93%
c’est la baisse des populations
de poissons migrateurs entre 1970 et 2016 à l’échelle européenne !
À l’image de l’anguille, dont les arrivées de civelles (alevins) sur les côtes européennes sont aujourd’hui aux environs de 5 % de la valeur de référence des années 1960/70.